31 août 2010

N. très loin, trop loin ?

1863 - "Ce n’est que quand mon mari et Maître m’a glissé à l’oreille que je ne serais pas fouettée que je me suis petit à petit relâchée..."

Je ne connais pas N. on apprend sur son blog qu'elle et son "propriétaire" de mari - qui parfois commente mes pages - vivent en Belgique.

Sur les images souvent en noir et blanc, on devine une belle jeune femme qui revendique ouvertement sa soumission et son chemin vers une forme d'obéissance conjugale. Ses textes dénotent un investissement avant tout amoureux, un jusqu'au-boutisme de couple au travers d'une découverte mutuelle de l'extrême... Pourquoi pas ?

Aujourd'hui, un message d'elle très fort qui m'a touché où elle raconte un moment de libertinage intense, une rencontre entre elle, son mari et un couple dont l'épouse est soumise, elle aussi. Jeux de mains, désirs de SM.

Elle va être mise à rude épreuve, au-delà de ce qu'elle imaginait... Extrait.

"(...) La rencontre débute bien. Les Maîtres nous font faire quelques épreuves de soumission et nous laissent flirter à deux devant leurs yeux... Une séance de fouettage est prévue en guise de cerise sur leur gâteau.

Ils ont débuté avec l'autre femme qui spontanément avait demandé de commencer. Immédiatement j'ai été terrifiée par la violence avec laquelle son Maître la fouettait.

Très vite, j'ai littéralement été tétanisée. Ses fesses, car Il ne visait que cela, tremblaient pendant d'interminables secondes après chaque fouettage. J'étais à ce point terrifiée que je ne peux dire combien de coups de fouet elle a reçus... Par contre, entre chaque coup, son Maître attendait que les nerfs de ses fesses se calment afin de la faire encore languir et craindre un peu plus le prochain coup. 

Interminables secondes d'un silence lourd de crainte qui s’écoulent avant qu’Il ne relance son fouet en direction des fesses de ma partenaire de soumission.

Quand ils l'ont détachée, ils m'ont prise pour m'attacher à mon tour, je ne savais même plus dire un mot tant que j'étais pétrifiée. Ils m'ont bandé les yeux. Je ne bougeais toujours pas, j'étais dans un autre monde. Heureusement, mon mari qui me connaît bien a, sans que je l’entende, proposé à l'autre Maître de me caresser plutôt que de me fouetter. 


J'ignorais cela et suis donc restée longtemps terriblement tendue sans pouvoir me lâcher.. (...)"

C'est un signal. Oh, j'aime bien cette histoire qui montre que quelle que soit notre niveau de désir, nos envies, nos fantasmes, on a toujours des limites, à un moment ou un autre. Et que parfois il faut faire attention de ne pas les dépasser, sous peine de se perdre.

Images © N

30 août 2010

De la Biafine juste après...

1862 - "Elle se met à poil pour sauver son amant"...

Ça part d'un bon sentiment, non ? Bien loin de ce dont j'avais causé ici en avril dernier, l'ami Chross nous trouve un extrait étonnant de "Lady Godiva rides", nanar datant de 69 "année érotique", ça ne s'invente pas.

Il y a d'autres films portant le même titre, mais c'est celui-là d'où est extraite cette fessée entre filles..

"Quand un seigneur anglais trouve son épouse Lady Godiva au lit avec son amant Tom Jones, ils doivent quitter le pays et aller aux États-Unis..." Oh, ça a pas l'air de trop coller à la "réalité" historique, c'est un de ces films baroques des années peace and love qui a l'air de valoir le détour. 

Parce qu'envoyer la moyenâgeuse Godiva... au Far-West, fallait y penser. 

On a évité le "Gode y va..." pourtant dangereusement possible dans l'esprit de ceux qui imaginent les titres des films de cul... Enfin, le titre, c'est Elvifrance qui l'a utilisé pour une de ses petites BD de gare.

Vous trouverez la couverture en lien......

Me f'rais bien un petit Caprice, tiens...

1861 - "Aïe, j'vais avoir un bleu maintenant !"

Ah, mademoiselle n'a pas froid aux yeux... Ni ailleurs, évidemment, c'est bien connu.

Star (!) du X hexagonal notamment pour Marc Dorcel, la blonde Virginie Caprice était jeudi soir entre 21 heures et minuit sur NRJ avec Sébastien Cauet.

Alors, évidemment, comme on connait l'animateur friand de ces petits dérapages en direct et qui a l'excellente habitude d'inviter les actrices de "films de boules" dans ses émissions, il s'est passé des choses inattendues...

La jeune femme n'a pas hésité à jouer la provoc avec des "défis" plutôt "olé olé",  oubliant sans doute que quand on passe à la la radio de nos jours, c'est... filmé aussi.

Tu crois être tranquille sans qu'on te voie faire tes conneries et en fait tu passes à la télé sans le savoir. Et hop, en moins de deux, c'est sur le web dans la foulée. En fait, évidemment voulu...

Donc, après avoir librement montré son cul à la caméra et reçu quelques fessées de David Vendetta, elle a traversé le studio pour embrasser Cauet sur la bouche. La suite dans le petit clip...

Back to spank...

1860 - "We invite you to come and teach somebody a lesson !"...

Nouvelle convention Shadow Lane à Las Vegas le week end prochain, du 3 au 6 septembre 2010, à partir de vendredi donc. J'ai déjà parlé ici des éditions précédentes, y compris l'an passé, par l'intermédiaire de quelques amies Américaines (Pixie, Jenny...) qui ont eu la gentillesse de nous narrer par le menu comment ça se passe, là-bas sous le chaud soleil du Nevada...

Enfin, plutôt dans l'ombre climatisée des salons privés et des suites du Suncoast Hotel.

... Ils font des prix pour le Labor Day, à l'hôtel. Trois jours...

Si on excepte le coût du voyage, c'est abordable. Reste l'envie de participer à un show. J'avoue ma curiosité perplexe. Un jour, j'irai sans doute voir. Plus de 25 ans que je ne suis pas retourné à Las Vegas, la ville a pas mal changé... Donc, ce serait une excellente occasion.

Mais je n'irai pas seul en reportage sur le vif... Avec une copine, à déterminer. S'il y a des volontaires...

Conditions requises: parler anglais, aimer les longs voyages en avion et... la fessée, forcément. Ce ne sera pas pour cette année.

Z'avez le temps de réfléchir et de vous préparer.

29 août 2010

Nouvelles du monde...

1859 - "Le monde de la fessée" est un blog passionnant très bien fait consacré au cinéma que tient un certain "Georges Fence" depuis des années.

On lui doit énormément de trouvailles et de perles mais depuis le mois de mai dernier, il n'a rien posté de nouveau et ça, c'est ennuyeux... Parce que je crois me souvenir que selon ce qu'il avait laissé entendre de temps à autre avec un certain fatalisme, l'homme était assez malade. Sans plus de précisions.

Or je m'aperçois que depuis plusieurs semaines ses commentaires sont envahis de spams qui restent alors que d'habitude il fait le ménage très rapidement en éliminant ces foutus messages robotisés anglais. S'il pouvait nous faire un petit signe... Rassurant.

Alors, bien entendu, peut-être a-t-il été lassé de son blog et est-il passé à autre chose sans crier gare, mais je pense, connaissant un peu le gaillard et sa façon d'écrire, qu'il nous aurait dit au revoir en bouclant la boucle avec un ultime topic... Non ?

Bon, évidemment, s'il nous a quitté "pour de bon", ce sera pas facile...

"Georges ? Allo ? Fais pas l'con, camarade !"

PS: un message de sa part, aujourd'hui, 31 août pour rendre hommage à Laurent Fignon... Pas rassurant, et qui confirme à demi-mot, mais qui permet de se rendre compte qu'il est toujours des nôtres. Ouf !

"La juste punition"...

1858 - Question par mail d'une demoiselle curieuse qui voudrait bien participer à une séquence à son tour: qu'est devenu le SpankingMaster75, ce grand gaillard qui nous gratifiait d'un blog dans lequel il fessait des amatrices devant la caméra, sans se prendre au sérieux plus que ça ?

Eh bien si sur le blog qu'il avait créé il n'y a que 30 topics et qu'il ne s'est rien passé de nouveau depuis près d'un an, l'homme continue son œuvre fessophile, désormais intitulée "la juste punition" non plus en libre accès mais sur Orgsex, un des rares sites qui propose des vidéos de fessées déculottées qui ne soient pas en anglais.

Payant. Forcément. Bonne chance à celles qui osent...

28 août 2010

Il n'y a pas qu'en Angleterre...

1857 - Elle est partie il y a pile deux ans...

Ma copine Fanny a décidé un matin sans crier gare de tirer sa révérence... D'elle pourtant, au-delà d'une pensée triste, c'est un souvenir érotique et un sourire qui me revient. Un jour où elle me racontait son enfance provinciale dans un bled de Normandie et les détails croustillants de son éducation en pension, dans une institution religieuse.

Chez les sœurs à cette époque (le début des années 60) les châtiments corporels faisaient encore partie de l'arsenal scolaire répressif, en accord avec les parents. En tout cas dans le collège privé où elle fût élève durant dix années, ça arrivait régulièrement, d'après elle.

Alors, je lui faisais raconter avec force détails ses histoires de fessées scolaires, faisant mine de m'étonner et de ne pas y croire, pour qu'elle renchérisse en tentant de me convaincre.

- "Je te crois pas..."

- "Mais si, je te jure..."

Les sœurs avaient la main leste. Contrairement au superbe dessin de Malteste que je vous propose, la plus belle correction reçue par Fanny n'a pas eu lieu en pleine classe, mais un soir après l'étude, dans le bureau de la mère supérieure, en "tête-à-tête"... Déculottée, corrigée, et mise au piquet avant de regagner le dortoir et ses copines riant sous cape, une fois bien contrite et "pardonnée"...

Ça paraît incroyable de nos jours, évidemment, mais c'est pourtant totalement véridique...

Fanny a ensuite conservé dans son érotisme d'adulte la plupart de ces troubles éducatifs, se laissant dominer avec une indolence suspecte, cherchant inconsciemment dans chacun de ses partenaires des hommes capables de la faire obéir.

J'ai été un de ceux-là il y a plus de vingt ans, révélateur un temps avant de m'effacer et de passer à d'autres émois. Ce n'était pas mon histoire, nous fûmes certes complices, mais on ne s'aimait pas d'amour et chez moi, c'est rédhibitoire... Nous sommes restés un peu amants-copains-complices, mais au fil du temps, nos liens se sont distendus. Et puis je n'ai plus eu de nouvelles. Jusqu'au jour où...

Je pense à elle, parfois.
Dessin © Louis Malteste

Réveil douloureux pour miss Mandy...

1856 - "Mandy wakes"...

Et celle-là...

Ne dirait-on pas qu'elle vient de recevoir une bonne fessée ?

Quoi, "on ne voit pas de traces rouges sur son cul ?"

Ça va venir...

Dessins © Dean Yeagle

Partouze seventies avec Little Annie...

1855 - "Rejoins-nous, chérie. Nous autres échangistes américains, on est complètement désinhibés et on baise de façon fun..."

Très politiquement incorrect, évidemment. Ça se passe dans une partouze seventies très côte ouest, probable qu'on entend "the court of the Crimson King" en fond sonore derrière et que ça sent l'herbe à mort.

Peace and love. AND spank !

C'est paru dans Playboy, extrait de Little Annie Fanny de Will Elder et Harvey Kurtzman. Le plus rigolo, c'est la réflexion de la levrette à côté, une amie sans doute s'y reconnaitra:

"À la main, pff... Aucune classe ! Une élégante cravache Hermès, ÇA c'est classe..."

Little Annie Fanny © Will Elder & Harvey Kurtzman - Playboy

Une paire de fesses, trois possibilités !

1854 - "Choisissez votre arme !"

"Laquelle ? La trique ? une brosse à cheveux ? La main ? 

C'est un fait, l’opinion publique américaine est résolument pour le recours à une méthode traditionnelle reconnue pour maintenir la discipline à la maison: la bonne vieille fessée ! 

Ce sont du moins les conclusions qui ressortent d’une enquête récente, grâce à un sondage Gallup. 

Mais toutefois une question n'a pas été posée: avec quelle méthode la leçon porte-t-elle le mieux ses fruits ? En employant la main, la brosse à cheveux, la ceinture ou la courroie de cuir qui sert à affuter votre rasoir ? Car est-il concevable d’utiliser autre chose que sa main ? Quant à l'effet douloureux produit par une lanière de cuir, laisse-t-il des traces plus "marquantes" ? 

Qu’en pensez-vous ?" 

Étonnant. J'ignore d'où sort cette coupure de presse trouvée sur le net et qui date des années 50. Parue dans un journal classique ou dans la presse spécialisée ? En tout cas, exemple - s'il en était besoin - montrant à quel point châtier ainsi son épouse était d'une logique imparable, jadis.

Et qu'il n'est donc pas étonnant - comme je l'ai déjà souligné - qu'avec un tel état d'esprit dans la société on trouve autant de films relatant des histoires d'amour contrariées contenant cette heureuse et claquante conclusion...

Des hommes, des vrais !

1853 - "Macho men"...

Une image des hommes qui paraît bien lointaine, des publicités qui seraient impubliables de nos jours sans qu'une association féministe ne porte plainte... Ton paternaliste, ramenant la femme à un unique rôle de ménagère, avec l'homme qui rentre du boulot pour se mettre les pieds sous la table déguster le succulent repas préparé par cette feignasse qui n'a rien à faire d'autre que de tenir la maison propre en l'absence du mari qui travaille, lui...

Ce sont des pubs trouvées sur le net, en provenance de magazines américains des années 60...

J'ai traduit les deux premières, "don't worry darling, you didn't burn the beer !" pour la marque Schlitz et le controversé "It's nice to have a girl around the house", pour les pantalons Mr. Leggs...

Passionnant article de Patrick Peccatte qui en a trouvé d'autres de la même marque, toute une campagne, visiblement... Avec une très bonne analyse de l'image, ici...

... Peccatte en parle bien mieux que moi pour ceux qui veulent en savoir davantage. Le tout à partir de cette étonnante femme peau de tigre qui a été pas mal vue et commentée sur la toile.

"On remarque certaines similitudes dans la composition de ces images, en particulier le fait que l’homme soit toujours présenté réduit à ses jambes, tronqué. On note aussi bien sûr que les deux premières mettent en scène un homme dominé/soumis par une femme, alors que la situation est inversée dans les deux suivantes. 

En restant prudent car nous ignorons s’il existe d’autres publicités analogues de la même marque, cela ressemble tout de même à une sorte de recherche d’équilibre de la part de l’annonceur dans la distribution des rôles masculins et féminins, même si la figure de la femme-tigresse nous semble la plus violente de la série..."

- "Plus ma femme travaille à la maison, plus elle est épanouie !"... Cette fois je n'ai pas traduit le texte d'accroche sur l'image, ce n'est pas exactement ça, mais le sens général y est.

J'aime bien la dernière, aussi. Celle pour les céréales Kellogg's PEP...  

- "Cuisiner, faire le ménage, repasser et t'occuper de moi quand je rentre... Comment fais-tu chérie ?" et l'épouse modèle de répondre en souriant devant cette naïveté masculine:

- "Mais je prends mes PEP, chéri..."

Faudrait en donner à la femme qui a laissé brûler le repas mais pas la bière, cette sotte distraite qui pleurniche de peur de recevoir une admonestation d'abord et une bonne fessée ensuite. Elle a raison: à cette époque, le mâle américain fesse sec !

Avant de refermer la porte de la chambre à coucher pour la suite.

27 août 2010

Jeux de mains d'hier...

1852 - "Attends un peu, tu vas voir ton verre de montre !"

L'argot d'antan laisse rêveur. Et de temps en temps, je tombe sur un Malteste que je ne connaissais pas... Vous en trouverez d'autres, ici.

Je précise qu'il a probablement dû écrire le livre ci-contre sous le pseudo de Jacques d'Icy, qu'il utilisait parfois. Textes ET dessins, donc !

Ce sont les regards des protagonistes qui valent le coup d'œil, chacune dans son rôle, celle qui fesse, celle qui subit et... Celle qui regarde.

On n'a pas l'impression qu'elle attend son tour mais qu'elle prend une joie méchante et un brin sadique à voir corriger l'aînée.

Ou alors, elle aime ça, va savoir. Fessée, être fessée, faire fesser...

À noter le martinet pendu au dossier de la chaise... Appréciez:

"Pour bien fesser, il faut une main plutôt grande. La sienne était longue et couvrait bien, coiffait bien la fesse qu'elle claquait. Plus j'allais, plus je l'aimais, sa main. Aucune main de femme ne m'a produit, depuis, un effet pareil. Elle avait vite fait de m'amener au paroxysme, sa main. Cela tenait du prodige...".
Dessin © Louis Malteste

Dress code... Plug'in !

1851 - "Avec, sans, mais que ça vienne d'elle avant tout..."

Il apprécie énormément les initiatives réfléchies de son côté sans qu'il n'impose quoi que ce soit. C'est plutôt excitant de savoir qu'elle pense à lui plaire, sans se soucier nécessairement de ses indications...

En la matière, les surprises, il adore ça.

Retrouvailles passionnées, il l'embrasse, lui caresse les fesses sans penser à mal... tout en marchant vers sa voiture. Elle vient le récupérer dans une gare du centre de la France pour une escapade dans la région.

Il lui revient alors en tête qu'ils avaient évoqué quelques jours auparavant un bijou particulier qu'elle possède et lui avait montré dans son écrin, par l'entremise de sa webcam... Un drôle de truc en acier avec une forme oblongue particulière et un bijou (en toc, mais qui brille) au bout, seule partie apparente une fois enfilé dans l'ouverture serrée...

Intrigant cadeau d'un ex... Bien que n'y connaissant rien en accessoires et plugs en tous genre, l'idée de lui faire porter à nouveau l'avait amusé. Elle n'avait pas dit non, souriant avant de baisser les yeux puis rebondissant sur tout autre chose.

150 bornes avant de rejoindre l'endroit choisi. C'est long, mais ils sont ensemble et le temps passe vite. Pendant le voyage, il se demande - sans lui en parler - si elle l'a utilisé et si elle le porte en elle. Parce qu'avoir un truc dans le cul ne se voit pas de l'extérieur, évidemment... Trouble supplémentaire qui lui fait rater un échangeur.

Madame babille, heureuse de le revoir et parle culture, festivals d'été et de ce qu'elle a fait pendant les mois passés sans lui pendant qu'il conduit, regard rivé sur l'autoroute qui défile, sourire aux lèvres, tout en pensant uniquement au moment où il va pouvoir vérifier, une fois la porte close...

C'est bien, l'attente...

PS: Elle l'avait...

Sourire radieux, plaisir d'offrir !

1850 - "Satyre, moi ?"

Les illustrations érotico-pornographico-mythologiques du dessinateur américain Mark Blanton (qui dessine aussi de belles pin-ups) ne contiennent pas de fessées, enfin je n'en ai pas trouvé dans les galeries. Y compris dans les esquisses. Mais j'aime bien la tête de jouisseur du satyre ci-dessus. Quand on voit le dessin en entier, on comprend mieux pourquoi...

Envie de baiser, moi...

Dessins © Mark Blanton

26 août 2010

Martine(t) à la plage ?

1849 - "Derrières marqués"...

Au fond, j'ai le sentiment que c'est assez facile de lancer un site fessée qui rapporte un peu de blé:

Une banale petite caméra vidéo, un pied pour la poser et éviter un caméraman, quelques filles joliment fessues endurantes et volontaires, des figurantes actives et passives qui acceptent de se plier - au propre comme au figuré - anonymement devant l'objectif et le tour est joué.  

Marked Butts est un nouveau site du genre, déjà graphiquement au point, avec logo et vidéo d'introduction, "en construction" mais qui devrait bientôt proposer des fessées "amateur" (?) plutôt vigoureuses avec un décor minimaliste.

C'est vrai qu'en l'espèce et comme c'est cadré, un lit ou un divan suffisent amplement, même si on peut voir sur la bande-annonce des extérieurs et une correction à la plage, de saison...

Ça fait de jolies photos de vacances, non ?

Images © Marked Butts

Collègue de bureau...

1848 - "Mark followed the tick tock motion of her provocative bottom" ou quand l'imaginaire des hommes prend le pas sur la réalité.

Monsieur regarde passer sa secrétaire avec un sourire égrillard en direction de son valseur !

Une attitude machiste qui de nos jours lui vaudrait assurément un procès pour harcèlement... En tout cas, aux USA. Pour le moment on n'y échappe encore un peu...

Pourtant, la jeune femme est évidemment sagement habillée, mais emporté par sa libido, ce brave Mark l'imagine aussitôt à poil, fixant cette croupe provocante montée sur roulements à billes qui remue sous ses yeux en plaisants mouvements alternatifs.

Et elle n'est même pas rouge ? Je sais, la vie est mal faite.
Dessin © Adam Bedside Reader n°8 - 1961.

23 août 2010

P'tits complexes à l'épreuve...

1847 - "Et mes fesses ? Tu les aimes, mes fesses ?"

Euh... Oui. Il les aime beaucoup, maintenant qu'il les a "apprivoisées". Ingénue, debout toute nue sur le lit, elle rigole comme une gamine et tente de se dévisser la tête pour les voir, regardant derrière elle.  

"Elles te plaisent, c'est sûr ?" Elle l'observe en coin le front plissé, les sourcils froncés, attendant de sa part une réponse, un jugement définitif...

Carrément, oui.

"Tu les trouves pas un peu grosses ?"

Il manque d'éclater de rire à son tour. Elle doit rentrer dans un 36, au point qu'il s'est demandé en sortant du restaurant et en jetant discrètement en marchant un œil sur son cul (une première rencontre "en vrai", forcément on se renseigne de visu) s'il allait avoir "quelque chose" à fesser, au cas où ils passeraient à la phase suivante.

Ils y sont passés. "Elle aussi, d'ailleurs !", rigole-t-il intérieurement de son bon (!) mot... Et c'était génial.

"Tu vois, tu rigoles. Tu te moques de moi, elles sont trop grosses, c'est ça ?"

Mais "trop pas", comme dirait sa fille...

Elle est drôle. De toute façon, c'est comme ça, il ne connait pas de femmes satisfaites de ce qu'elles sont. Les seins trop ceci, trop petits, trop gros, le nez comme ci, la bouche comme ça, pas assez, trop... Le cul plat, pas suffisamment rebondi ou alors carrément trop large, bref, il n'a jamais rencontré de nanas en accord parfait avec de leur physique. Toujours à se plaindre, parfois pour chercher le compliment contraire, mais le plus souvent parce qu'elles le pensent vraiment. Elle est très jolie, pourtant.

Lui ne s'aime pas non plus, remarquez. Tout à l'heure dans la salle de bain, pendant qu'il prenait une douche, elle est entrée... L'a regardé, tout nu en train de se savonner. Un peu gêné (il se trouve un peu gras et d'un coup, tous ses complexes ressurgissent), il a fait comme si de rien n'était, souriant un peu niaisement. Ils ne se connaissent "physiquement" que depuis la veille, ont fait l'amour dans le noir, ça faisait illusion et ses complexes étaient moins "apparents" que là, maintenant, dans la lumière crue des néons où il a soudain à tort l'impression d'une cinquantaine pesante face à cette fille qui a sept ou huit ans de moins que lui et qui le fixe avec un joli sourire...

Un temps d'arrêt. Il se sent jugé, disséqué, soupesé...

"Dix kilos de moins et tu serais vraiment canon ! T'es beau mec, je trouve..." qu'elle lâche. Lui la regarde et grommelle, vaguement interrogatif, persuadé qu'elle se moque.

Elle ne se moque pas.

On a tous nos petits complexes, nos blocages, nos incertitudes. Parfois à tort. Certains regards tendres, inattendus, sans pour autant être complaisants, nous aident à avancer.

Mais quand même, depuis, il a maigri, hein...
Photo © Armandie

21 août 2010

Sexy Pulp Fictions...

1846 - "Sexy Pulp Fiction"...

C'est sur un formidable site qui parle de ces petits livres de gare que j'ai trouvé ces images-là... Des illustrations parfois osées, façon "affiche de film de série B"...

Allez donc voir ces titres dont on voit parfois la couverture parue dans les années 60 puis la réédition du même titre quelques années plus tard, dans les années 70. Très amusant de voir les différences, l'artiste reprenant quelquefois l'illustration de départ, raccourcissant les jupes, retirant les chaussettes de collégiennes, changeant la coiffure, bref, mettant à la mode vestimentaire des filles démodées en les habillant pour les lecteurs des seventies...

Pas ou peu de fessées en couverture, mais quand même quelques perles évocatrices...

Une main de fer dans un gant ... de fer !

1845 - Cette vidéo extraite de GBS, site connu pour ses jupes écossaises d'écolières british - et le brave Tom dans le rôle de l'implacable "headmaster" qui depuis a pris sa retraite, remplacé par un clone - me pose une question. Je vois sur le site de Fence que c'est pour lui l'exemple type d'une correction parfaite...

Mais moi... Est-ce que ça ME plaît ?

- Oui, parce que la position choisie pour maintenir la punie, sous le bras, est un clin d'œil que percevra l'intéressée.

- Oui, parce que la correction n'est pas simulée, et que Claire, la modèle, endure bravement la fessée qu'elle reçoit en serrant les dents. Et parce qu'elle a de belles fesses...

- Non, parce que c'est fait sans âme. La violence apparait plus que la sensualité. Normal, c'est une fessée punitive, évidemment. Mais quand même...

- Non, parce que c'est difficile aussi de "croire" à la véracité d'une scène, "jouée" par des acteurs en sachant que la jeune fille "prend" 500 euros pour subir ça. Et qu'elle en a tourné pas mal d'autres.

- Non, parce que c'est assez loin de ma façon de faire que ces claques rageuses données inexorablement, comme par une sorte de colère punitive dans laquelle je ne vois pas une once d'érotisme. Que ça me rappelle davantage Stallone frappant une carcasse de bœuf dans la boucherie de Paulie pour s'entraîner à son prochain combat dans Rocky que les fessées (pourtant parfois sévères et fortes) que j'ai pu donner...

Très anglais avec un certain détachement, pas assez latin pour moi qui aime les choses plus impliquées.

Même si, OK, les images me troublent un brin...

Je suppose que vous aurez envie de donner votre avis ?